Pour nos confrères de Paris Match, Florent Pagny est revenu sur ses problèmes avec le fisc. Le chanteur paie-t-il ses impôts en France ? Réponse.

Florent Pagny va mieux. Le chanteur, qui lutte contre un cancer du poumon, a donné récemment de ses nouvelles. Pour nos confrères de Paris Match, l’artiste s’est longuement entretenu, évoquant à la fois sa santé mais aussi ses célèbres démêlés avec l’administration française.

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Florent Pagny va mieux. Le chanteur, qui lutte contre un cancer du poumon, a donné récemment de ses nouvelles. Pour nos confrères de Paris Match, l’artiste s’est longuement entretenu, évoquant à la fois sa santé mais aussi ses célèbres démêlés avec l’administration française. Et l’interprète de Savoir aimer fait une nouvelle fois une mise au point : “C’est un système qui est fait pour bloquer les gens comme moi, pas aptes à la gestion. Ils ont saisi les maisons que j’avais achetées à ma famille, parce que mon nom était sur les papiers. C’était un moyen de pression, j’étais dans le collimateur et ils voulaient me coincer”, lâche-t-il.

Une rancœur contre l’administration française qui est donc encore vive pour Florent Pagny qui se confie aussi sur sa vie actuelle. “Je suis redevenu résident fiscal français, après être parti quelque temps au Portugal. Et je précise à nouveau que tout l’argent que je gagne via les ventes de disques, les tournées, les contrats télé, je suis imposé dessus en France. Macron a quand même réduit les impôts sur les sociétés, comme pour les particuliers. Le seul avantage que j’avais en étant au Portugal était d’économiser 10% à 15% sur l’Urssaf. Bon c’est plus simple ainsi…”, conclut-il.

Pascal Obispo a été présent lors de ses soucis avec le fisc

Florent Pagny paye donc ses impôts en France et révèle d’ailleurs ô combien son ami de toujours Pascal Obispo a été proche de lui pendant ses démêlés avec l’administration française. “Même quand ils ont vendu mes meubles aux enchères je m’étais arrangé avec Pascal pour qu’il rachète tout. Ce qui a inspiré Ma liberté de penser qui reste mon plus gros tube. A la fin, il y a toujours un mal pour un bien”, lance-t-il en riant. Des confidences cash pour celui qui parle volontiers de ses soucis avec le fisc.